La planète Terre

Bonjour!
je rédige ce site depuis peu. je suis donc issue d'un BTSA GPN GEN. Je suis adhérente à l'association Béthune Nature et l'année passée j'ai fait des animations dans un collège de ma ville pour cette association dans le cadre de l'AATP. Le thème était l'environnement. Je cherche un emploi en animation nature donc si vous employez dans ce domaine laissez moi un petit message à cette adresse: bethunenature@hotmail.fr  Je vous donnerai plus de précision sur mon parcours et je vous transmettreai mon C.V ainsi qu'une lettre de motivation.

je souhaite également monter une association de protection du littoral et de sensibilisation du public. Donc ci des personnes sont intéressées qu'elles me laissent également leur coordonées à cette adresse: bethunenature@hotmail.fr

N'hésitez pas à me contacter, à laisser des commentaires et à me dire quel genre d'articles vous intéresse!

Une émission intéressante est passée sur France 5 le mercredi 2 janvier 2007. Sujet de l'émission: le pôle Sud.

Le Krill:
Le Krill est un zooplancton. C'est une minuscule crevette qui est à la base de la chaîne alimentaire de nombreuses espèces. Cette crevette vit dans les zones froides du globe: les pôles. Cette crevette se nourrit de phytoplancton qui sont de minuscules végétaux. Ce phytoplancton se situe sous les glaces polaires. Or depuis que le réchauffement climatique prend de l'ampleur, il y a une diminution de la glace. Donc il y a moins de phytoplancton. De plus, la saison des glaces a raccourci de 15 jours. Ce qui accroit ce phénomène. Le Krill peut donc moins se nourrir et moins longtemps. Le krill a connu une perte de 80% de son effectif depuis ces 30 dernières années.

L'otarie à fourrure:
En Géorgie du Sud l'otarie à fourrure manque de nourriture suite aux changements climatiques. L'alimentation de base de l'otarie à fourrure est le Krill. Or le krill a connu une perte de 80% de son effectif depuis ces 30 dernières années. Elle voyage plus longtemps en quête de cette minuscule crevette. Mais cela laisse les bébés otaries seuls. Ces bébés doivent faire face à un jêun assez long. Parfois ce dernier provoque la mort des jeunes otaries. De plus, quand la nourriture vient à manquer et que la famine s'installe, les adultes abandonnent les jeunes.

De plus, des perturbations cycliques sont aussi responsables d'une baisse du nombre d'otarie à fourrure. Ce phénomène qui s'appelle El Ninio est connu de l'homme. Il a lieu tous les 8 ans environ. Mais son intensité augmente ainsi que sa fréquence. Ce phénomène entraîne une augmentation des fausses couches chez les Otaries à fourrure, mais également une baisse des naissances et une augmentation des decès chez les bébés et chez les ados. Ces conséquences apparaissent 2 ans et demi après le phénomène El Ninio.

Les manchots Adélie:
Les manchots Adélie est l'une des plus remarquable espèce de manchot. Ils forment des colonies. La population au Sud de l'île « Torguesen » a baissé beaucoup plus que clle située au Nord de l'île. Au Nord de l'île les manchots Adélie continuent d'utiliser des gros cailloux pour construire leur nid. Au Sud, les chutes de neiges tardives noient les poussins ou gelent les oeufs. Cette neige entraîne une diminution des capacités de reproduction. A cause des changements climatiques, il y a désormais un décalage entre les conditions météo au niveau des habitats et la prériode de reproduction. Sur l'île de « Torguesen » ce bilan est inquiétant. En effet, il y a une baisse de 70% du nombre de manchots Adélie. Cela représente une disparition de 10 000 couples reproducteurs.

La proie favorite du manchot Adélie est le Krill. Comme je l'ai dit précédement cette crevette a vu sa population chuter de 80% depuis ces 30 dernièeres années. Le manchot se nourrit journalièrement de 300 à 500 grammes de krill. En étudiant le contenu d'un stomac de manchot Adélie grace à la régurgitation, on constate que la population de krill est essentiellement composée d'adultes. C'est inquiétant car cela veut dire qu'il n'y a pas de renouvellement de la population de krill. Cette crevette sera-t-elle amenée à disparaître? Or c'est la base de la chaîne alimentaire pour de nombreux animaux: les otaries à fourrures, les manchots Adélie mais également les baleines à fanons...

Un autre problème se pose pour les manchots Adélie. Leurs prédateurs, les labbes bruns, voient leurs ressources alimentaires disparaître. Donc ils viennent en masse vers les dernières colonies de manchots Adélie. L'équilibre est rompu. En moyenne 1 labbe brun contrôle 1 000 à 2 000 couples . Or des colonies de manchots n'atteignent pas 50 couples de reproducteurs. Les labbes bruns tuent en 1 an tous les petits des manchots Adélie. En moins de 5 ans, la population de manchots Adélie n'est plus présente sur la zone. Et les labbes sont alors menacés de disparition.

Bien sur, l'augmentation de température de 6°C à fait venir les otaries à fourrure qui étaient plus au Nord. Les mâles des otaries se déplacement lourdement et menacent les poussins des manchots Adélie mais également les jeunes. Cette espèce est quelques autres envahissent leur territoire des manchots Adélie, leur prennent leurs cailloux nécessaires à la reproduction.et endommagent les écosystèmes.

L'océan Arctique:
Cet océan est très riche en biodiversité. En effet, 1m² comprends 140 000 organismes vivants. Beaucoup d'espèces sont atteintes de gigantisme. Cela est du au basses températures et à une prsénce de dioxygène importante dans l'eau. Mais la température de cet océan a augmenté d'1°C. L'environnement change vite, et les espèces benthiques (c'est à dire les espèces vivants au fond de l'océan) ont une capacité d'adaptation faible. Leur croissance est lente et leur reproduction est basse. Ces organismes ont dons un problème pour s'adapter aux augmentations de températures d'autant plus que ces espèces ne peuvent pas migrer plus au Sud et sont contraitent de subir les modifications de leur milieu.

L'océan antartique absorbe le CO2. Mais cette faculté a des conséquences. En effet, elle entraîne une augmentation de l'acidité de l'eau. Cela empêche la consolidation des coquiles calcaires de certains organismes marins voir la dissolutuon de ces dernières. De plus, les animaux marins de cet océan sont également sensibles aux rayons U.V. Le rayonnement de ces derniers a augmenté à cause de la dégradation de la couche d'ozone. Même si celle ci se porte mieux grâce au protocole de Montréal. (Voir article sur le protocole de Montréal prsént dans ce blog). Les bactéries, le plancton subissent des mutations génétiques à cause du rayonnement nocifs des U.V.

Le réchauffement climatique entraine d'autres perturbations majeures. Les icebergs sont de plus en plus présents car ils se détachent de la calotte glacière. Mais ils raclent les fonds peu profonds de l'océan Anctartique. Le sol marin devient alors un véritable désert.

Toutes ces perturbations sont dues à nos sociétés, aux industries, à nos modes de vie, à des politiques non adaptées à la survie de notre Planète. Il est tant d'agir en faisant pression sur les industriels et sur les Etats, et en modifiant notre comportement de consommateurs. Pour la survie de notre Planète et donc de nous même soyons des écocitoyens!

Bonjour, je rédige des articles pour ce blog et pour celui de mon association. Depuis sa création récente, ce site a reçu beaucoup de visites et grâce à google. le résumé de l'émission vu du ciel et les questions sur le BTS GPN  sont les pages les plus regardées. Issue moi même d'un BTS GPN GEN et allant l'année prochaine en GPN animation nature je peux répondre aux questions des internautes sur cette filière. Pour les autres personnes, si un sujet vous intéresse en particulier sur l'environnement, laissez moi un commentaire pour que j'essaye de faire un article dessus. Dites moi aussi comment vous trouver les articles.je vous remercie.

Une émission est passée sur France 2 ce dimanche 30 décembre 2007. Elle est intéressante car elle nous permet de réfléchir sur des problèmes sur l'environnement que l'on ignorait. Il est intéressant de se documenter plus longuement sur les problèmes abordés qui nous intéressent particulièrement. Cette émission est donc une piste de recherche.

Des initiatives locales sont mises en avant ainsi que le travail de nombreuses personnes travaillant dans l'environnement ou ayant réagit aux problèmes causés par leurs activités.

Bien sur pour réaliser cette émission, les hélicoptères, et les déplacements en avions ont été réalisés. Mais l'émission s'engage à limiter le méthane qui est un gaz très polluant dans les parties du globe très touchées et de faire vivre les populations locales grâce aux recyclages de matières. Dans ce cas précis, une association est aidée pour son travail à Madagascar.

Il ne faut pas empêcher cette émission sous prétexte qu'il y a un transport en avion nécessaire. Car le travail de cette émission est utile pour sensibiliser les personnes aux problèmes de la planète mais également pour montrer que les initiatives locales qui sont efficaces. La France n'est pas en reste dans ce sens. Prenons le temps de la féliciter mais il y a encore du travail à effectuer.

Voici un point positif avec le fou de bassan en Bretagne. Leur préservation est assurée grâce à la création de la réserve naturelle des 7 îles. Le littoral arrive à nourrir les populations de cet oiseau qui parcoure environ 200Km pour s'alimenter. Mais il reste menacé en Ecosse. Malheureusement, même si le fou de Bassan se porte bien sur les côtes bretonnes , ce n'est pas le cas du macareux moine qui a souffert de la chasse. Car il était un trophée pour beaucoup de personnes. Malgré beaucoup d'efforts cet oiseau va certainement disparaitre des côtes bretonnes.

En Bretagne, les marées vertes sont provoquées par des pollutions provenants de la Terre. A la fin de la seconde guerre mondiale, il fallait nourrir les pollulations. Une politique d'agriculture intensive a été mise en place. Mais actuellement, le surplus d'engrais, de lizier contenant beaucoup de nitrate, de phosphates issus le plus souvent des lessives des particuliers, se retrouvent sur le littoral. Car 50% des eaux sales françaises sont relachées sur le littoral sans être traitées après pollution. Cela provoque la prolifération d'algues vertes. Pour limiter cela, des agriculteurs limitent le nombre de porcs élevés pour réduire considérablement le lizier. La sensibilisation des particuliers pour l'utilisation des lessives sans phosphates est aussi utile. Ces gestes réduisent les marées vertes.

Autre problèmes autre région... Le crabe de Staline (Crabe Kamchamtka) s'étend sur les côtes norvégiennes. Ce crabe géant a été transporté par les russes vers les côtes de la mer baltique pour nourrir les populations de pêcheurs. Le problème c'est que ce crabe est issu de la côte pacifique où il a des prédateurs. Or au niveau de la mer baltique il n'en a pas. Parcourant 15 Km par jour, il colonise la côte. Il est très vorace et ravage donc les fonds marins. Les russes enpêchent une pêche abondante qui pourrait le limiter en mer baltique pour ne pas faire descendre le prix de sa chaire. De plus seuls les mâles adultes peuvent être pêchés. Et les femelles continuent à donner naissance et les petits à se dévellopper. Cette menace est due à la main de l'homme.

Dans d'autres contrées du monde les problèmes sont également présents. En Nouvelle Calédonie, il existe la deuxième plus grande barrière de corail au monde après celle d'Australie. Mais la mine de nickel en Nouvelle Calédonie a nécessité la coupe rase de très nombreux arbres. Donc avec les pluies, il y a un lessivage des sols. Ils sont entrainés vers la mer et étouffent les coraux. Ces derniers meurent. Or les coraux (qui sont des animaux vivant en symbiose avec des algues appelées zooxanthelles) sont la source d'une très grande biodiversité.

Les perturbations touchent également les plus grands mammifères. Le réchauffement climatique fait fondre les eaux du Groeland. Donc cela ralentit le Golf Stream. Cela provoque la mort du Krill (c'est une minuscule crevette qui sert d'alimentation de base pour de nombreux cétacés). Les baleines auront donc moins de nourriture. Elles pourront pas la suite mourir de faim.

De retour en France, une bonne nouvelle en Corse, le mérou qui était menacé se porte bien. Mais ce n'est pas le cas de la langouste qui est toujours pêchée même si elle est de moins en moins importante. Si on ne limite pas la pêche de la langouste en Corse tout en permettant aux pêcheurs de vivre elle sera pêcher jusqu'à son extermination.

Dans le monde la pêche crée également des dégats immenses. Les requins sont pêchés pour leurs ailerons qui sont très appréciés des asiatiques. Ils sont ensuite relachés en mer... Ces requins amputés ne peuvent pas vivre. Leur effectif sont en baisse. Un espoir demeure dans le domaine de la pêche toutefois, l'aquaculuture a connu une expansion importante juste après internet. Mais pour faire un Kilo de poisson d'élevage, il est nécessaire de réduire 4 Kilos de poissons sauvages en farine. Il est intéressant de repenser l'aquaculture car 4 Kilos de poissons sauvages ça a de lourdes conséquences pour l'océan.

Sur les îles des Galapagos, l'écosystème est en péril à cause du tourisme intensif. La surpopulation humaine est néfaste pour cet écosystemes merveilleux. De plus, il y a une accumulation des déchets sur ces îles. Ces dernières sont un sanctuaire pour la faune et la flore. Il faut les préserver tout en ne négligeant pas les populations locales. Peut-on y dévellopper un écotourisme respectueux ou doit-on interdire toutes activités humaines?

Malheureusement je ne peux pas aborder tous les sujets de l'émission. J'ai du choisir les plus caractéristiques et ceux qui dépendent des volontés locales ou politiques. J'espère que ces sujets vous intéresseront.

Le Clipon est un des sites les plus important et les plus intéressant du seawatching français.

Petit rappel historique:

La jetée du Clipon a été construit entre les années 1973 et 1978. Cette étendue de 3 Km en mer va devenir un pilier du seawatching . Les premières observations ornithologiques ont commencé en 1976 par le GON. Mais c'est surtout depuis les années 1980 que le Clipon connait un réel angouement de la part du public ornithologique. Il connait ces heures de gloire depuis 1998. Un véritable suivi migratoire est mis en place à partir de cette date.

Un site exceptionnel:

A ce jour les bénévoles effectuent plus de 900 heures de suivis annuels. Cela permet de recenser environ 250 espèces d'oiseaux dont certaines ne peuvent pas être vu des côtes. Les espèces pélagiques tels que les puffins sont observés de près grâce à la jetée du Clipon.

Grâce aux observateurs bénévoles un véritable suivi des migrations a été mis en place. Ces données recueillies avec sérieux permettent d'accroitre les connaissances scientifiques sur leur migration.

Une association:

Le Clipon s'est aussi une association qui a permis la réalisation d'un réseau europeen d'observations. Ainsi les meilleurs sites de suivi migratoire sont répertoriés et mis en relation.

Un avenir menacé:

Le projet du terminal méthanier au niveau de la jetée du Clipon va amputer le réseau europeen du suivi migratoire d'un site exceptionnel. Le public dont les ornithologues ne pourra plus avoir accès à ce site. Les suivis ne pourront plus se faire. Et les observations nécessaires à la compréhension de la migration seront perdues. Ainsi que les données permettant le suivi des populations comme c'est le cas pour la Macreuse noire. Les observations régulières au niveau du Clipon ont montré que cette espèce voit son effectif en baisse. Ce genre de données par espèce n'existera plus si l'on empêche les ornithologues de poursuivres les observations. De plus ce genre de renseignement est fiable pour connaître la réaction de l'avifaune aux perturpations climatiques.

Le clipon est un espace permettant au plus grand nombre de succomber à la beauté encore présente sur Terre.

A lire également l'interview de Mickael D. seawatcher.

Un blog d'ornithologie a été crée il y a quelques semaines. Il permet de découvrir les oiseaux et de "jouer avec eux". j'espère que vous allez aimer ce blog!

Voici l'adresse:

http://drnoliv.skyrock.com/

Les oiseaux ont besoin de nourriture en hiver. Nous pouvons les aider en confectionnant des pains de graisse (nous pouvons également les acheter).

Recette:

Pour fabriquer un pain de graisse, il faut de la graisse pour frites que l'on fait fondre.

Puis on y mélange les graines à oiseaux.

On attache une ficelle sur un petit bout de bois.

On met la ficelle dans un pot de yaourt vide, le morceau de bois doit être à l'extérieur.

On verse le mélange graisse pour frites et graines dans le pot de yaourt.

On laisse le tout se figer, ensuite on enlève le pot de yaourt.

Il faut disposer des graines au sol, en hauteur (jusqu'à 2 mètres), dans les buissons. Essayer de ne pas les disposer à des endroits où des chats peuvent s'abriter. Sinon les oiseaux peuvent leur servir de festin!

L'eau:

Les oiseaux en ont besoin. On peut en disposer dans une gamelle très peu profonde (moins de 3 cm). Il faut la changer régulièrement. Quand elle est gelée, il faut verser de l'eau chaude dessus. Il ne faut jamais rajouter de sel, d’antigel, d’alcool qui sont hautement toxiques pour les oiseaux.

Il est important de nourrir les oiseaux des les premières gelées jusqu'au printemps, c'est la même chose pour l'eau. Après il faut arrêter le nourrissage. Ne jamais donner de pain, de biscotte ou tout aliment contenant du sel!

Petite définition:

A l'heure actuelle « pollution » signifie tous les effets nocifs qui résultent de l'action de facteurs de l'altération. Ces derniers sont nommés polluants. Les polluants sont pratiquement tous des sous-produits de l'activité humaine. Beaucoup existent depuis des siècles. Mias ils sont devenus nocifs à cause de leur production massive. En effet, les capacités de destruction et de recyclage par les organismes destructeurs de l'écosystème ont été dépassées.

Différents types de pollution:

Il y a 3 types de pollution:

_ la pollution chimique. Exemple: un excès de nitrate.

_ la pollution biologique qui est du à l'accumulation d'espèces vivantes indésirables. Exemple: production microbienne engendrant des épidémies.

_ la pollution physique. Exemple: la pollution visuelle.

2 sortes de polluants:

_ les polluants biodégradables: ils peuvent être naturellement éliminés à condition de ne pas avoir de concentrations trop fortes.

_ les polluants non dégradables: il s'accumulent dans les différents compartiments de la biosphère si l'homme ne parvient pas à s'en débarasser.

Petit historique de la pollution...

L'histoire de la pollution est fortement lié au progrès de la technologie. Au Néolithique apparurent les 1eres causes de contamination de l'environnement. L'eau fut la première touchée par la contamination microbienne (rejets des effluents domestiques dans l'eau). Cette dernière apparue avec la sédentarisation.

Avant le 18 siècle, les pollutions étaient très localisées. Elles étaient le produit de l'activité physiologique et de l'artisanat.

Mais à partir de l'ére industrielle la pollution de l'eau, du sol et de l'air devient plus préoccupante. En 1810, un décrét impérial de Napoléon indiquait qu'il fallait s'occuper de l'environnement.

Avant la seconde guerre mondiale, les pollutions restaient localisées au niveau des zones industrielles. Mais aujourd'hui, le développement des nouvelles technologies a entrainé un accroissement de la pollution à cause du rejet dans le milieu de substances peu ou pas dégradables. Le problème de la pollution devient planétaire.

Quelques causes de la pollution:

La société de consommation est une des causes les plus importantes de l'accroissement de la pollution. En effet, on constate une augmentation du nombre d'objets fabriqués et rapidement jetés. L'achat de ces objets à courte durée de vie est sucité par la publicité. Mais l'augmentation de la consommation d'énergie reste la cause principale de la pollution (exemple: le nucléaire car on ne sait pas neutraliser ou détruire les déchets radioactifs).

La dispersion et la circulation des polluants sur Terre:

Les polluants sont souvent transportés loin du point de rejet cela est du aux vents, à l'eau.

Les polluant atmosphériques ne restent pas indéfiniment dans l'air ou dans l'atmosphère. Ils sont entrainés par les eaux de pluies et se retouvent ainsi dans le sol ou dans l'eau. Le cycle de l'eau est important aussi dans le transport de polluants. Ils peuvent ainsi se retouvés dans les nappes phréatiques ou dans les cours d'eau pour rejoindre l'océan...

Concentrations des polluants dans la biomasse:

Les polluants non dégradables peuvent se retrouver dans la biomasse. Ils peuvent passer d'un maillon à un autre au sein de la chaîne alimentaire. Ainsi leurs concentrations augmentent dans les organismes. Cela entraîne des problèmes de toxicité au niveau des derniers maillons de la chaîne alimentaire. Exemple: le DDT

Le mardi 27 novembre, à Béthune, une ballade matinale a permis d'observer et d'entendre de nombreux oiseaux hivernants. 30 espèces ont été relevés. Le merle, le rouge gorge, le pinson des arbres étaient au rendez-vous mais également bien d'autres convices.

Petite présentation de « Béthunois » merveilleux...

Le merle noir (): Cet habitant de milieu divers (forêt, parc et jardin, bocage) est peu farouche. I

La bergeronnette grise (Motacilla alba): Cet oiseau vit dans divers milieu. Il aime la proximité des hommes et de l'eau. La bergeronnette grise est attirée par les zones dégagées pour chasser les insectes.

La mésange charbonnière (Parus major): Cet oiseau est la plus grande des mésanges. Elle aime les zones boisées, les parcs, les jardins. Il visite les mangeoires à oiseaux. C'est un animal peu farouche. On peut facilement l'observer.

Le roitelet huppé (Regulus regulus): C'est le plus petit oiseau d'Europe. Son habitat comprend les connifères, les boix mixtes, les parcs et les jardins. Il se situe en hauteur sur les branchages. Il est peu farouche et s'observe facilement.

Le rougegorge familier (Erithacus rubecula): Il vit dans divers milieux boisés mais s'observe également dans les bocages, les parcs et les jardins voir en ville. Il se nourrit d'insectes, de gastéropodes... Il est craintif. Il n'apprécie pas la compagnie des individus de son espèce sur son territoire mais supporte très bien les oiseaux d'autres espèces.

Le troglodyte mignon (troglodytes troglodytes): Cet oiseau a un habitat varié. Il vit dans les boisements à sous bois touffus, dans les parcs, les jardins et jusqu'en ville. C'est un très petit oiseau qui ressemble à une boule brun-cannelle.

L'étourneau sansonnet (Sturnus vulgaris): Il vit dans les agglomérations, les parcs, les bois.

La mésange bleue (Parus caeruleus): Elle fréquente les bois mixtes ou de feuillus, mais également les parcs et les jardins. Elle s'observe également au niveau des mangeoires en hiver.

Le martin-pêcheur d'Europe (Alcedo atthis): Il vit près des cours d'eau lents. Son nid est creusé au niveau de berges abruptes. Il capture les poissons après un petit plongeon vertical.

Le chardonneret élégant (Carduelis carduelis): Son habitat comprendl acampagne mais aussi les bosquets de feuillis, les vergers. Il cherhce sa nourriture sur les chardons et sur la ardane des années précédentes.

La mouette rieuse (Larus ridibundus): Elle niche au niveau des lacs, des étangs cotiers...

La mésange à longue queue (Aegithalos caudatus): Elle est localisée au niveau des bois de feuillus, des bosquets, des parcs et jardins. Cette mésange est ronde, très petite et à une longue queue.

Le héron cendré (Ardea cinerea): Il habite près de l'eau. Il reste immobile, à l'affut. Il est grand et peu atteindre 1 mètre de haut

Le moineau domestique: (Passer domesticus): Il vit près de l'homme surtout en ville. Il est remplacé le plus souvent à la campagne par le moineau friquet (Passer montanus).

La tourterelle turque (Streptopelia decaocto): Elle se situe au niveau des parcs et des jardins et aime également les conifères touffus. Elle est reconnaissable grâce au demi collier noir bordé de blanc à l'arrière du coup.

Le grèbe castagneux (Tachybaptus ruficollis): Il est localisé au niveau des étangs et des mares ayant une végétation fournie.Il est farouche. C'est le plus petit des grèbes.

Le pipit farlouse (Anthus pratensis): Il fréquente le smilieux ouverts, les paturages, les champs, les friches, les marais... Il vit à terre, il se pose au sol après un vol de prospection mais aussi sur les poteaux, en haut des buissons ou sur des arbustes et arbres isolés.

Le pinson des arbres (Fringilla coelebs): Il habite diverses zones boisées, les parcs et les jardins. Il cherche souvent sa nourriture à terre. Il fait la taille d'un moineau mais il a le corps plus élancé et une queue plus longue.

Le grimpereau des jardins (Certhia brachydactyla): Il vit au niveau des zones boisées, des parcs et des jardins. Il est calme et discret et grimpe agilement aux troncs et aux grosses branches. Il se nourrit d'insectes.

Le canard colvert (Anas platyrhynchos): Il vit dans presque tous les milieux où il y a de l'eau. C'est le plus connu des canards.

Le cygne tuberculé (Cygnus olor): Il est présent sur les lacs, près des roselières...

La gallinule poule-d'eau (Gallinula chloropus): Cet oiseau est souvent rencontré dans les petits lacs, les étangs, les mares et les cours d'eau avec beaucoup de végétation. Elle se cache souvent mais on peut toutefois l'observer près de la végétation au bord de l'eau. Elle a un bec rouge avec une pointe jaune.

Le pic épeiche (Dendrocopos major): Il est localisé au niveau des boisements variés, des forêts de feuillus, des parcs et des grands jardins sauvages.Il est craintif. C'est le plus commun des pics. Les plumes sous caudales sont rouges et sont donc nettement séparées du ventre qui est blanchâtre.

La grive mauvis (Turdus iliacus): Elle vit dans les forêts de conifères du Nord de l'Europe. Elle se trouve en France dans les bois de bouleaux, de saules et dans les forêts mixtes. Son corps est assez petit et compact. Sa tête est grosse et sa queue est courte. Les flancs sont de couleurs rouilles.

Le tarin des aulnes (Carduelis spinus): Il aime les forêts de conifères et les forêts mixtes. Il recherche des aulnes et des bouleaux pour se nourrir. C'est un petit oiseau.

L'accenteur mouchet (Prunella modularis): Il se situe au niveau des boisements, des parcs, des jardins, des haies, des broussailles. Il a la taille d'un rougegorge.Son vol est brusque et bondissant. Il se met bien en vue quand il chante et il se met alors en hauteur. Mais à la moindre alerte, il disparait.

Le pigeon ramier (Columba palumbus): Il est présent dans divers milieux (dans les forêts, les bois, les parcs, en ville). C'est le plus grand pigeon d'Europe. Il a une tache blanche au niveau du coup. Il a un bruit d'ailes claquants à l'envol en guise d'alarme.

Le geai des chênes (Garrulus glandarius): Il aime les milieux boisés et touffus. Il a besoin de glands qu'il cache en automne en prévision de l'hiver. Il peut les transportes sur plusieurs kilomètres. Il est farouche et difficile d'approche. Il est omnivore.

La pie bavarde (Pica pica): Elle se situe dans la campagne mais également dans les bois clairs, les parcs et les jardins. Elle se situe près de l'homme car ce dernier la protège des rapaces et lui apporte dela nourriture.

L'épervier d'Europe (Accipiter nisus): Ce rapace est présent au niveau des bois, des forêts et des bosquets. C'est un petit rapace aux ailes larges, obtuses et assez courtes. La queue est longue. Les coups d'ailes font remonter l'épervier en vol et les planés le font redescendre. Il vole près du sol pour surprendre ses proies.

"Bonjour pauline
Bonjour.

Aujourd'hui nous allons aborder ton parcours dans l'environnement, ton engagement et aussi ton futur métier soigneur animalier...
Oui ça n'as pas beaucoup de rapport avec le BTS GPN mais ca me passionne beaucoup plus que couper des arbres toute la journée!

Tu nous parles d'un BTS GPN, mais que signifie GPN? Quel est son programme?
Alors le BTS GPN signifie Gestion et Protection de la Nature, celui que je fais a comme option Gestion des Espaces Naturels. Cette formation consiste en l'étude de la biologie en général, de l'aménagement du littoral et des autres milieux, les mesures de protection et de sauvegarde mises en place pour les espèces. Ensuite, toutes les deux semaines un chantier est prévu pour nous faire découvrir différents milieux (zone humide, boisement, tourbière...) et les modes de gestion appliqués à chaque milieu. La plupart des chantiers consiste en la réouverture du milieu avec l'abattage des arbres, le débrouissallage...

Ce BTS ne correspondait pas à tes souhaits je présume
Non pas vraiment, je pensais qu'on s'interesserait plus à la faune et notamment la faune sauvage, mais ce BTS se limite à l'aménagement comme je l'ai dit. Et ensuite on ne voit pas vraiment d'espèces qui m'interessent à 100%. Je suis plutôt interessée par la faune sauvage comme les animaux qu'on ne trouve pas par chez nous: loup, girafe, éléphant, Grand panda, zébre enfin vous voyez! donc ce BTS ne correspond pas vraiment a ce que je veux faire plus tard.

Et quelle est donc la formation que vous devez effectuer pour travailler avec les animaux sauvages?
Alors actuellement je suis des cours par correspondance pour faire auxiliaire de santé animale avec en option Faune sauvage. Donc la base des cours c'est pour devenir auxiliaire de santé animale chez les vétérinaires (donc il y a tout ce qui concerne les chiens, les chats, les nac c'est à dire les Nouveaux Animaux de Compagnies, les chevaux). Et ensuite viendra la législation et enfin l'option! Donc une fois qu'un livret est terminé, on a un devoir à faire et à envoyer pour être corriger. On obtient une note. La moyenne de toutes les notes qu'on aura eu déterminera si on a effectué la formation soigneusement et on obtient un certificat. On a également la possibilité d'effectuer des stages dans le cadre de cette formation. Mais on vera ça en temps et en heure. d'abord l'apprentissage et ensuite la pratique.

Cette formation semble vous convenir. Mais pourquoi préférez vous étudier la faune au lieu des espaces naturels français?
Depuis toute petite je préfere les animaux sauvages c'est pour cela d'une part mais d'autre part je trouve plus interessant pour moi de travailler avec des animaux car ils sont capables de nous transmettre des sentiments et on s'attache plus a eux qu'a une pelouse séche, un boisement enfin, les animaux ont besoin d'être protégé car si rien n'est fait pour leur préservation et/ou leur conservation. ils viendront a disparaitre. il faut donc des personnes travaillant dans les espaces naturels francais et d'autres avec les animaux (ce qui sera mon cas je l'espere).

Pour protéger une espèce, il faut connaître ses besoins, son habitat en autre... Mais la sensibilisation du public est importante également. Dans quel "domaine" voulez vous intervenir et pourquoi?(biologie de l'espèce et/ou sensibilisation)
Je voudrais travailler dans les zoos ou les réserves donc comme je l'ai dit pour protéger ces animaux, leur donner un habitat le plus proche possible de celui qu'ils connaissent dans la nature. Je souhaite exercer le métier de soigneur animalier afin également d'en apprendre plus sur eux, de connaitre leurs besoins, leurs relations avec d'autres congénères, leurs réactions suivant différentes situations...

Travailler dans des zoos ou des réserves permet également de sensibiliser le public a la cause animale et ainsi leur apprendre un tas de chose sur l'habitat d'un animal, son régime alimentaire... Ca permet également au public de voir des animaux qu'en temps normal il ne verait qu'à travers des images ou des films documentaires.

Un prof m'a dit un jour que les animaux n'étaient pas intelligents... J'ai trouver cela totalement idiot de la part de ce professeur car les animaux sont beaucoup plus intelligents que nous dans bien des situations! Il s'était permis de dire cela sous prétexte qu'un animal ne peut pas dire avec des mots ce qu'il pense, ressent....bref je m'éloigne.

Vous souhaitez donc appronfondir les connaissances sur les espèces mais également les faire découvrir aux gens. Je suppose toutefois que vous avez une préférence pour une espèce sauvage que vous voulez faire découvrir et protéger?
Oui effectivement mais dans notre pays ce n'est pas possible étant donner que le climat ne s'y préte pas notamment dans le nord. il s'agit du Grand Panda! C'est mon animal préféré, cet animal vivant en Chine est en voie de disparition du fait du développement massif des rizières qui détruisent les fôrets de bambous (la base de son alimentation). Les pandas se trouvent plus dans les zoos maintenant que dans leur milieu naturel. On commence également à réussir à les faire se reproduire en captivité notamment par insémination artificielle. La derniere naissance en date a eu lieu au zoo de San Diego le 3 aout 2007. Il s'agit d'une petite femelle prénommée Zhen Zhen ce qui veut dire Précieux en chinois. Mais je ne désespére pas quand a en voir un jour de mes propres yeux et de préférence dans leur habitat naturel!

Nous parlions des zoos à l'instant. Je suppose que pour vous le bien être animal doit être important. Nous avons l'image de zoos où les animaux sont "parckés" dans des cages et ne peuvent échapper au public. Comment améliorer la situation de ces animaux dans ces zoos? Peut-on essayer d'aménager un zoo comme un espace naturel?
Il y a des personnes qui pensent que c'est horrible de prendre des animaux sauvages et de les enfermer dans des cages au lieu de les laisser dans leur milieu naturel. Mais il faut préciser que la plupart des animaux dans les zoos sont des animaux nés en captivité et qui n'ont jamais connu les grands espaces et la liberté. Il arrive également que ce soit des animaux blessés et étant incapable de retourner à la vie sauvage donc plutôt que de les laisser mourir, on les laisse finir leurs jours dans un zoo où ils ont plus de chance de vivre longtemps et en bonne santé que dans la nature. Il faudrait que les personnes enlévent cette image stéréotypée de leur esprit. On ne vit plus dans les année 20.

Oui il est possible d'aménager un zoo comme un espace naturel. D'ailleurs tout est fait pour que les conditions animales soient améliorées en France. Le zoo, que je connais, où les animaux ont de la place et un milieu adapté à leurs besoins est de San Diego. En France, il est vrai que les animaux sont bien souvent à la vue des visiteurs et dans des enclos en fer. Mais il est difficile de concilier sécurité des animaux et du public simplement en creusant des fosses. il faut également que le public puisse voir les animaux lorsque le zoo est ouvert sinon ce zoo n'a plus d'intérêt.

Donc votre experience en BTS GPN peut servir dans votre futur métier si l'on peut aménager les zoos comme des espaces naturels?
Oui je pense que cela pourra m'aider, car ayant quelques connaissance sur les milieux et suivant les besoins des espéces il sera possible de proposer des aménagements favorables aux animaux et au public.

Votre formation en BTS GPN comprend donc également l'accueil du public?
Oui nous avons une partie du programme concernant l'acceuil du public, avec différents thèmes comme par exemple comment canaliser le public, lui faire emprunter un chemin et veiller à ce qu'il reste sur ce dernier sans être obligé de mettre de barrière sur les côtés.

Si je comprends bien, votre parcours permet de concilier à la fois accueil et sensibilisation du public, gestion et l'aménagement du zoo pour en faire un espace proche de l'habitat naturel, et l'approfondissement de la connaissance des especes sauvages...
Voilà ,tout a fait.

Que voulez dire aux personnes qui veulent se lancer dans l'environnement?
Réfléchissez bien à ce que vous voulez faire plus tard. Car c'est une mode en ce moment mais les débouchés sont peu nombreux. Et il est difficile de trouver un emploi avec un simple BTS. il vaut mieux continuer après le BTS et se spécialiser dans quelque chose par exemple l'eau, les oiseaux pour assurer au mieux son avenir.

Je vous remercie pour nous avoir consacré du temps afin de nous faire découvrir votre parcours
Merci a vous.

J'espere que cette interview plaira aux lecteurs de Béthune Nature...
Moi aussi.

Au revoir Pauline
Au revoir.